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Acteur engagé de sa vie

Regardez attentivement ces deux listes, et trouvez dans laquelle vous vous reconnaissez le plus :


irritable-2.jpegREACTIVITE
C'est pas moi, ce sont les autres
Culpabilisation de moi et des autres
Automatismes 
Blameur
Sous pression extérieure
Réactions "Pousse bouton"


PROACTIVITE
dynamique.jpeg

Je = 1er responsable de ma vie
Anticipation
Prise d'initiative
Cohérences = Valeurs / Choix de vie
Flexibilité = Plus de choix
Maîtrise du temps

Alors ?

Evident que la liste PROACTIVITE fait davantage envie non ?!

Je vous rassure, nous passons tous d'un état à l'autre... mais l'enjeu ici est de prendre conscience que parfois, nous perdons beaucoup trop de temps en REACTIVITE, état interne hautement toxique qui nous pompe toute notre énergie et nous laisse dans la frustration, le stress et la régression. Moins de choix, moins d'option, plus de souffrance, plus de doute, dépendance, non-sens, échec, plus d'effort pour moins de résultat... bref, à bannir au maximum !

Par contre, et vous l'avez déjà expérimenté, lorsque vous êtes dans un état interne positif (proactivité) vous ressentez plus de plaisir, d'énergie, d'autonomie et vous arrivez davantage à vous réaliser et atteindre vos objectifs. Plus de choix, plus d'option, plus de sécurité, plus de sens et donc... plus de réussite. Tout bonus !!! A privilégier sans modération !

C'est cela devenir acteur de sa vie : passer de l'état de victime à celui de responsable en apprenant à gérer nos états émotionnels.

Sachez d'ores et déjà qu'il est tout à fait aisé et possible d'amorcer vos états positifs et de stopper vos états internes négatifs... suite au prochain épisode Clin d'œil

Parabole du tricot

J’en ai passé du temps à étudier, comprendre, calculer, annoter le tricotage de ce pull à partir des diminutions d’enmanchures à droite. Il s’agit de commencer en même temps le 1/2 col au point mousse…

Je me lance, une maille en plus toutes les deux lignes, ce n’est pas sorcier ! Tiens, c’est bizarre, ils ne précisent pas à combien de mailles du bord gauche il faut augmenter, comme quoi, personne n’est parfait… J’opte pour la dernière maille, l’effet n’est pas des plus heureux parce que cela « dentelle » un peu, mais on pourra récupérer, « lisser » en quelque sorte, avec du crochet.

Réconfortée par le poids et la chaleur du travail déjà réalisé – tout le devant- je tricote, avec zèle et concentration, chaque ligne achevée étant ponctuée d’un petit trait sur une feuille de papier. J’ai opté pour un point riz de quatre mailles, cela donne du relief et le résultat me satisfait pleinement. J’avance, lentement mais sûrement…

Je suis une visionnaire : ce pull sera beau, parce que tricoté avec amour pour mon fils Emmanuel. Et unique, parce que ça et là il y a quelques dérapages dus à mon inexpérience, mais ce sera la « marque de fabrique » maternelle en quelque sorte !

Et puis… et puis… lentement, insidieusement, le doute s’installe, lorsque je rabats les mailles pour marquer l’épaule gauche. Normalement, il ne devrait rester que les mailles en point mousse correspondant au col. Alors, pourquoi j’en ai une quinzaine supplémentaire qui semble m’interroger ?

Arrêt. Je réalise progressivement que mes fameuses mailles tricotées en point mousse devaient être prises au milieu du travail, et non à gauche, et ne représentaient aucunement des augmentations mais en quelque sorte un « grignotage » sur le dessin de chaque rang tricoté.

Erreur fatale de compréhension de ma part ! Le temps de comprendre qu’il n’y a aucun moyen de rattraper cela, sinon de défaire ce qui représente quand même quelques heures de travail, et déjà les larmes me montent aux yeux. Colère contre moi-même, frustration profonde, sentiment d’échec, pensées négatives du style « Même ça, tu le rates ! » teintées d’un ultime zeste d’humour « Faire et défaire, c’est travailler ! ».

Mais c’est bien des sanglots qui me secouent lorsque je retire l’aiguille et commence à défaire. Une ligne après l’autre. Il y en a bien pour une dizaine de centimètres de hauteur. Je rembobine presque une pelote entière, tout en pestant contre moi-même et ces foutues larmes : « Je suis ridicule, absolument ridicule ! »


Terrible étape, qui s’achève avec la reprise de toutes les mailles sur l’aiguille. Ce n’est pas « retour à la case départ », mais presque. Grosso modo j’ai défait 1/3 de mon tricot. C’est énorme.

Dans la foulée, je recommence. Le bord gauche du demi col est maintenant bien droit, vertical. A droite, il forme une diagonale ascendante. Du coup, bien sûr, cela va plus vite, puisqu’il n’y a aucune augmentation sur le rang. Et je tricote, je tricote, je tricote…

La pelote rembobinée devient molle, tiens, me revoilà déjà aux diminutions d’épaule ! Merveilleux ! C’était bien plus rapide que je le pensais, et c’est tellement plus joli.

Mon modèle passe par là, un essayage s’impose : c’est parfait. Vraiment la bonne taille pour Emmanuel, qui semble à la fois impressionné et satisfait.

Ainsi en est-il parfois sur le chemin de la vie. Nous construisons, nous bâtissons, nous allons dans une direction, persuadés que c’est la bonne et pressés d’arriver au but, sans avoir conscience des petits signaux d’alarme qui invitent à la pause, la réflexion, la prière, l’écoute.

Et tout un pan de notre existence peut s’écrouler. Instant terrible et douloureux, où nous prenons conscience de notre échec. Il faut défaire, et d’ailleurs cela se défait parfois sans nous ! Nous ne choisissons que rarement les difficultés et les épreuves que nous avons à traverser.

Et il faut reprendre courage, et repartir. Autrement. Différemment. Avec une nouvelle compréhension de ce qui est attendu de nous. Avec ce que nous savons, et ce que nous sommes devenus, puisque nous ne sommes plus les mêmes maintenant.

Et le résultat ? C’est que ce deuxième « jet » est bien plus beau et réussi que le premier ! Et à la colère, à la frustration, au sentiment d’échec, vient se substituer une douce conviction d’avoir fait le bon choix, et d’en recueillir les bons fruits. Après tout, ce n’était pas si terrible que cela !

pour la petite histoire, je suis de nouveau bloquée sur le final du côté gauche, un étage plus haut en quelque sorte. J’ai beau chercher, je n’ai pas encore trouvé la solution. Et, sagement, j’ai mis les mailles en attente et me suis attelée au côté droit, que je vais tricoter jusqu’au même niveau, espérant qu’entretemps un « eurêka » viendra illuminer ma compréhension du mystère…

Source : merci à mon amie fidèle de nous faire profiter de son tricot Sourire
EJW/Ecrivain

des livres...tout un domaine !


Faites le tri !!

Aujourd'hui faisons un gros plan rapide sur notre manière de gérer notre quotidien :


Les activités nécessaires

= les activités nécessaires ou indispensables pour l'instant, qu'elles vous plaisent ou non.

La question : comment pouvez-vous les rendre aussi constructives et épanouissantes que possible ?

Les activités épanouissantes

= celles qui vous apportent de la joie, de l'énergie positive, ce que vous aimez le plus faire.

La question : comment y consacrer plus de temps et construire davantage votre vie autour de celles-ci ?

Les activités toxiques

= les activités qui ne sont pas gratifiantes, qui vous pèsent, qui vous pompent.

La question : comment en faire moins et diminuer leur impact sur votre vie ?

 

Le secret d'une vie plus épanouissante :

Identifiez vos talents et vos passions et construisez votre vie autour !!!

Voici quatre questions-clé qui vous permettront de démarrer ce travail passionnant :

1. Avez-vous conscience de vos 3 talents principaux ? Notez-les de suite !

2. Comment pouvez-vous faire pour les développer davantage ? Soyez précis.

3. En cultivant moyennement ces talents, quelle ampleur peuvent-ils prendre dans 3, 4 ans ? Imaginez...

4. Au service de quoi les mettrez-vous ? Ce qui compte le plus pour vous...

 

Répondez de suite par écrit à chacune de ces questions.

Puis entrainez-vous à développer vos talents dès aujourd'hui !

A vos marques, prêts ?

SE DEPENSER 3 FOIS PAR SEMAINE

Les scientifiques sont tous unanimes : il existe une drogue miracle qui calme, booste l'estime de soi, aide à réfléchir, nous embellit, améliore notre vie dans son ensemble, qui est légale, sans effets secondaires, gratuite et disponible sans ordonnance. Il s'agit d'un cocktail de 3 fois 30 minutes d'exercices par semaine plus 10 minutes de respiration profonde, 8 heures de sommeil et 12 câlins par jour !!

Le corps doit être pris aussi au sérieux que l'esprit lorsqu'il s'agit de notre bien-être.

Diverses études rapportent que les gens qui font de l'exercice régulièrement sont en meilleure santé, ont la pensée plus claire, dorment mieux et retardent les accès éventuels de démence. L'exercice régulier donne la pêche. On pense, à tort, que cela fatigue, mais c'est le contraire qui se produit, celle donne de l'énergie. Plus particulièrement encore à ceux qui sont sédentaires. Une étude a démontré que 20 minutes d'exercice 3 fois par semaine pendant 6 semaines augmentent le dynamisme de personnes souffrant de fatigue chronique. La modernité nous prive de l'effort physique. Nos ancêtres marchaient beaucoup et notre espèce est bâtie pour en faire bien plus que de prendre ascenseurs, escalators et automobiles. Nous sommes conçus pour chasser et cueillir, pas pour commander une pizza ! Les maladies mentales augmentent plus rapidement dans les pays développés, en partie aussi pour cette raison. L'exercice est un besoin vital et notre paresse a un coût émotionnel et physiologique.

BOUGER AIDE A LUTTER CONTRE LA DEPRESSION

En 2000, le psychologue Michael Babyak et ses collègues ont réuni 156 patients souffrant de dépression sévère. Ils les ont répartis en trois groupes. Le premier a été traité par antidépresseur, le second en faisant de l'exercice physique et le troisième en combinant les deux. La "dose" d'exercice s'élevait à 30 minutes trois fois par semaine.

Au bout de 4 mois, plus de 60 % des participants allaient mieux et les différences de traitement n'étaient pas significatives, si ce n'est qu'il a fallu un peu plus de temps aux patients ne faisant que de l'exercice pour se sentir mieux. Dix mois plus tard, les taux de rechute étaient de 38 % dans le premier groupe, contre 31 % dans le deuxième et seulement 9 % dans le troisième. On peut donc presque considérer que de ne faire aucun exercice revient à s'administrer des dépresseurs. Nous sommes faits pour bouger.

Le mouvement procure des bénéfices psychologiques, entre autres une meilleure estime de soi et une diminution du stress et de l'anxiété, particulièrement dans les moments difficiles... qui semblent paradoxalement offrir une excuse en or pour ne pas faire de sport.

L'exercice physique est aujourd'hui considéré comme un traitement complémentaire contre des symptômes cliniques : psychoses, schizophrénie, troubles de l'attention, etc.

SE DEPENSER AIDERAIT A RETROUVER LA MEMOIRE

Une équipe de neurologues de l'université de Columbia à New York, vient de démontrer que la pratique d'exercices aérobics génère de nouvelles cellules dans l'hippocampe des souris. Cette partie du cerveau est nécessaire à l'activation de la mémoire. Or, seuls les cerveaux des enfants créent habituellement de nouvelles cellules cérébrales. Les cerveaux adultes, eux, en perdent dès l'âge de trente ans.
Une équipe de chercheurs californiens a poursuivi cette expérience afin de démontrer que le même phénomène se produit chez les humains. Elle est en train de travailler sur la prescription sportive idéale pour retrouver ou maintenant sa mémoire.

S'Y METTRE

Alors voilà. Par où commencer ? Doucement est la clé de l'introduction de ce rituel. Progressivement, petit à petit, en suivant son bonhomme de chemin. Bref, comme on peut.

Pour ma part, j'ai trouvé le rythme minimum de 30 minutes de marche à pied 3 fois par semaine au pire, tous les jours au mieux. Cela me laisse une marge de manoeuvre qui m'évite de tomber dans le despotisme vis-à-vis de mon auguste personne. Surtout, ne pas tomber dans le "il faut absolument", sinon, je sais d'avance que je vais lâcher le morceau vite fait !

Pour s'y mettre, la première chose à faire est donc... de s'y mettre. Le tout est de survivre aux cinq premières minutes, ensuite c'est parti. Et puis, un jour, cela devient un "kif". Cà n'est désormais plus seulement un investissement indispensable pour notre bonheur et notre cerveau, cela devient une part irremplaçcable de notre plaisir.

Alors... à vos marques, prêts ? Partez !!!

Source : "3 Kifs par jour" F. Servan-Schreiber

Fixez-vous des buts

A défaut de faire le travail que vous aimez, aimez celui que vous faites...

Les gens qui sont heureux sans raison, qu'ils aient une carrière idéale ou répondent à un appel, sont habités par un but où qu'ils aillent ou quoi qu'ils fassent - même s'il s'agit de la plus banale des tâches. Qu'ils vidangent l'huile de leur voiture ou préparent le repas familial, un but les inspire toujours. Cette intention n'est pas  "à l'extérieur". De fait, si on retire à une personne heureuse sa source d'inspiration, elle en trouvera simplement une autre !

Voici une histoire à propos du grand chef d'orchestre italien Arturo Toscanini. Le jour de son 80e anniversaire, quelqu'un a demandé à son fils, Walter, ce que son père considérait comme sa plus grande réalisation. Walter a répondu : "Une telle chose n'existe pas pour mon père. Tout ce qu'il fait est sur le coup le plus grand accomplissement de sa vie, qu'il dirige une symphonie ou qu'il pèle une orange."

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Le fait d'avoir un but provoque une expansion en vous et vous aide à vous sentir inspiré en tout temps, ce qui se traduit naturellement par davantage de succès. Comme l'a dit Albert Schweitzer : "Le succès n'est pas la clé du bonheur. Le bonheur est la clé du succès. Si vous aimez ce que vous faites, vous aurez du succès."

Voyez les signes de la frustration et ceux du bonheur et déterminez si vous êtes "sur la bonne trajectoire" pour vivre en vous inspirant d'un but :

FRUSTRATION

BONHEUR

Agir machinalement sans inspiration

 

Se sentir perdu et s'ennuyer

 

Etre résigné et avoir le sentiment d'aller nulle part

 

Agir uniquement par intérêt personnel

Agir avec inspiration

 

Aller de l'avant et se sentir engagé

 

Agir avec intention et passion

 

 

Etre au service d'autrui

 

Le fait de vivre en vous inspirant d'un but alimente votre bonheur et celui des gens qui gravitent autour de vous...


Voici des habitudes de bonheur pour vivre en s'inspirant d'un but :

1. Trouvez votre passion

2. Suivez l'inspiration du moment

3. Apportez votre contribution à quelque chose de plus grand que vous.


Source "Le bonheur s'apprend" de Marci Shimoff

Une bonne habitude

... donnez de l'énergie à votre corps !

 

Votre véhicule fonctionnerait mal si vous laissiez tourner le moteur continuellement ou ne faisiez jamais le plein. Pourtant, nous négligeons souvent notre corps de la sorte en l'espérant aussi dynamique que le lapin Energizer. Pour accéder à la joie naturelle et conserver l'équilibre dans notre vie, nous devons donner de l'énergie à notre corps en dormant et en respirant bien, et en faisant de l'exercice.

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La recherche a largement démontré que les gens qui font de l'exercice sont plus heureux. Vous pouvez transformer votre vie en prenant l'habitude de faire certains exercices ou mouvements, comme la marche, la course à pied, la natation, la danse ou le yoga. Lorsque vous faites de l'exercice, votre cerveau reçoit davantage d'oxygène, mais ce qui est encore plus important, c'est que votre corps produit alors des composés chimiques et des hormones de grande valeur qui ont un impact sur votre énergie, votre humeur et votre santé.

Dans le cadre d'une étude récente réalisée auprès d'athlètes, il a été découvert que la dopamine, la sérotonine et la noradrénaline – ces merveilleux composés chimiques du bonheur – étaient présentes en plus grande quantité après une séance d'entraînement.

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L'exercice peut également soulager et prévenir l'anxiété, générant un effet calmant qui dure environ quatre heures.Il accroît également d'environ 500 % la quantité d'endorphines, ces composés neurochimiques de la « béatitude » qui sont responsables de l'état de la grande satisfaction que procure l'exercice.

Alors, plus d'hésitations, tous à vos baskets !!

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Petite cerise sur le gâteau :

Si vous êtes privé de sortie, vous pouvez également donner de l'énergie à votre corps sans quitter votre fauteuil. Sachez que votre posture influe sur votre degré d'énergie et de bonheur.

Voici donc le conseil d'un osthéopathe reconnu :

La prochaine fois que vous vous sentirez stressé, anxieux ou déprimé, remarquez si vous épaules sont crispées et cherchent à toucher vos oreilles. Au lieu de tenter de les ramener en position normale, exagérez le mouvement et levez davantage les épaules – et puis LENTEMENT, relâchez-les. Faites-le trois ou quatre fois et voyez à quel point votre niveau de stress et d'anxiété diminue.



VOS 7 NIVEAUX LOGIQUES

Vous pouvez faire un pas décisif dans la compréhension de votre propre fonctionnement en tenant compte des 7 niveaux logiques de votre vie :

1. Ma mission de vie : au nom de quoi j'existe, ce que je veux faire de ma vie en relation avec d'autres personnnes ou groupes auxquels je me sens connecté...

2. Mon identité : ce que je suis, le rôle que je joue, la personnalité que j'exprime, la conscience que j'ai de moi-même, en tant que maître et responsable de mes actes.

3. Mes valeurs et croyances : ce qui cadre ma vie, les convictions, principes et règles auxquels j'adhère, ce que je juge essentiel dans la vie, qui est fondamental pour moi, et aussi ce que je crois, pense et considère comme important, sur moi-même, les autres, la vie et le monde en général...

4. Mes attitudes et stratégies : ce qui fonde mon efficacité, ma pertinence et mon adaptation dans la vie. Ce sont des dispositions mentales et des mécanismes qui me déterminent face aux choses et aux autres.

5. Mes capacités : ce que je sais, ce que je peux, mes savoir-faire, mes aptitudes, mes compétences.

6. Mes comportements : ce que je fais, ce que je réalise, associé à mes sensations, mes émotions, mes ressentis internes. Mon attitude envers mon environnement

7. Mon environnement : ce que j'expérimente concrètement, ma vision du contexte dans lequel se déroule ma vie, le contexte, le monde matériel. Les influences extérieures, les contraintes.

Votre manière de vivre chacun des échelons de cette hiérarchie a une influence déterminante sur votre vie et votre moral ! Elle conditionne également la façon dont vous entrez en relation avec les autres, la performance de vos actions, la réussite plus ou moins aboutie de vos projets. C'est dire combien vous devez être attentif à un alignement de haut en bas de éléments de cette échelle.

Comment çà marche ?
Vous devez retenir que chaque niveau hiérarchique gouverne et pilote les niveaux situés au-dessous. A contrario, chaque niveau est déterminé par les options prises aux niveaux supérieurs.
Par exemple, vous agissez sur l'environnement au moyen de vos comportements, lesquels sont dirigés par vos capacités, qui constituent l'ensemble de votre savoir-faire. Vos capacités sont guidées par vos stratégies mentales. Ces stratégies sont pilotées par vos valeurs et vos croyances. Vos valeurs, quant à elles, sont organisées par votre identité, qui s'alimente à son tour du contenu de votre mission de vie.

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Vous suivez ?

Pour faire plus simple : vos émotions, vos sensations (plaisir, désagrément, ennui...) vous renseignent en permanence sur la manière dont vos besoins sont satisfaits ou non. Grâce à ce baromêtre intégré, vous pouvez vous mettre à l'écoute de ce qui est important et vous préoccupe : il est le garant d'une vie pleine et épanouie.
Certaines personnes ne s'écoutent pas suffisamment ; elles ne savent donc pas forcément s'il est bon de changer, à quel moment, avec qui et comment...

Etre à l'écoute de soi et rester fidèle à nos valeurs est aussi la garantie de n'être jamais la proie d'un beau parleur : vous restez le seul à pouvoir exprimer ce qui est essentiel, important et bon pour vous.

IDENTIFIEZ VOS BESOINS EN COACHING...

Il peut être intéressant que vous passiez un moment avec vous-même, au calme, et que vous notiez par écrit, peut-être dans un cahier prévu à cet effet, les réponses que vous suggèrent les questions ci-dessous :

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- Quelle est l'importance de mon travail pour moi ? Qu'ai-je besoin d'apprendre ? Quels sont mes talents et mes motivations profondes exploitées ? Ou non ?

- Qu'est-ce qui compte vraiment pour moi ? Qu'est-ce que je souhaite léguer comme héritage moral ? Comment puis-je mesurer ma réussite ?

- Comment sont mes relations avec les autres ? De quelle manière est-ce que je veux que les autres m'abordent ? Quelles sont les personnes auxquelles j'accorde le plus d'importance ?

- Est-ce que je m'autorise à jouer et à être créatif ? Quels sont les domaines où je m'amuse ?

- Suis-je attentif aux autres ? Comment est-ce que j'exprime mon respect de la vie ? Est-ce que je m'accorde du temps pour apprécier la vie ?

- Est-ce que j'exprime de la compassion ou de la générosité envers les autres ? Quelles causes suis-je prêt(e) à défendre ? Est-ce que je fais mon possible pour répondre aux besoins et aux attentes des autres ?

Vous avez certainement remarqué que certains thèmes de ces questions touchent aux relations avec votre entourage personnel et/ou professionnel. Allez vers les personnes les plus importantes pour vous et posez-leur les questions ci-dessous :

- Qu'est-ce que vous attendez de moi dans la vie ?

- Que pensez-vous de ma manière de communiquer avec vous ?

- Est-ce que vous me trouvez amusant ? Qu'avez-vous à dire sur mon caractère ?

- Comment appréciez-vous l'intérêt que je vous porte ? En quantité ? En qualité ?

- Que pensez-vous de ma disponibilité et de ma générosité ?

- Avez-vous le sentiment que je suis attentif à vos besoins ?

Vous pouvez comparer les réponses obtenues avec vos propres réflexions. Ce travail peut vous demander un certain temps... mais il vous en dira long aussi au sujet de vos ressources d'estime, d'affirmation et de confiance en soi. Et puis, vous serez fixé quant à vos besoins (ou non) en coaching Clin d'œil


Le coaching... pour QUI, pour QUOI ?

Le coaching individuel aide à franchir avec plus d'aisance les caps difficiles et les moments clés de la vie :

- orientation scolaire ou d'études
- prise d'indépendance
- accident, incident de santé
- choix professionnel
- divorce
- perte d'emploi
- retraite...

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La majorité des personnes qui ont recours à un coach sont des êtres "normaux", simplement en recherche d'une vie mieux négociée, attentifs à des performances plus facilement acquises, ou encore soucieux d'un développement personnel et professionnel équilibré.

On peut noter que les demandes d'accompagnement font état, la plupart du temps, d'une échéance importante, pour laquelle il faut mettre toutes les chances de son côté, d'un projet en gestation qui piétine ou alors qui mobilise progressivement l'attention, ou d'une situation mal vécue au présent et qui devient petit à petit insupportable.

Les indications du coaching individuel sont très diverses et concernent tous les volets majeurs de votre existence. Vous pouvez en effet solliciter un accompagnement sur mesure dans différents cas et pour des raisons fort variées :

Sur le plan personnel :
améliorer votre communication et votre relationnel
fixer et gérer vos objectifs
apprendre à mieux contrôler stress, anxiété, trac
travailler sur vos ressources (confiance, estime, affirmation de soi)
augmenter votre créativité
clarifier une situation ou un problème
aider à résoudre vos conflits intérieurs
vous débarrasser d'un comportement limitant
canaliser vos pensées négatives

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Sur le plan du couple ou de la famille :
améliorer la communication et les relations entre époux
venir à bout des rancoeurs, de jalousies et de secrets de famille laissés en friche
dépasser les rigidités relationnelles entre parents et enfants
négocier avec souplesse les tournants délicats de la vie
gérer les situations de crise (départ du/de la conjoint(e) ou compagne(gnon), ou des enfants, successions, partages...)
reconstruire un équilibre dans le cadre de familles recomposées

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Sur le plan professionnel :

dégager une orientation professionnelle stimulante et attractive
acquérir des compétences nouvelles
développer des talents laissés en jachère
trouver un travail ou un métier à la suite d'un licenciement ou de réductions d'effectifs
équilibrer vie privée/vie professionnelle
retrouver le sens et le goût de l'action
gérer les stress puissants issus de conditions de performances toujours plus exigeantes
surmonter les brimades vécues au quotidien sur le lieu de travail (harcèlement)
régler les problèmes d'agressivité au travail (vis-à-vis des hiérarchies, des collègues et/ou des collaborateurs)
se soustraire et mieux vivre les dépendances au travail si elles atteignent un seuil critique (burn-out)

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Sur le plan des relations sociales et de l'environnement :

comprendre et approfondir les changements et les évolutions des moeurs et des valeurs
surmonter les difficultés à se trouver à l'aise en société
maîtriser les occasions de vous exprimer devant un groupe
savoir construire ou enrichir le réseau relationnel
mieux vivre les conditions de voisinage délicates, oppressantes, dangereuses
surmonter les peurs et les anxiétés face aux contexte et aux actes de violence et d'incivilité
tenir et garder votre place face aux injustices, aux déséquilibres et aux impasses de toutes sortes

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Le coaching s'adresse tour à tour ou tout à la fois au corps, au mental ou au comportement. Il aide à optimiser la gestion :
- de l'information : améliore les capacités d'attention, de concentration, d'anticipation, d'apprentissage, de créativité...
- de l'émotion : améliore le contrôle du stress, facilité la récupération nerveuse et physique, favorise la maîtrise de l'émotivité...
- des relations : améliorer la communication, optimise le leadership, développe l'affirmation de soi...
- de l'énergie : contrôle l'activité mentale, renforce la motivation, stimule l'ambition, favorise la gestion des objectifs...
- de l'image de soi : gère les pensées positives, stimule les croyances positives, contrôle les pensées négatives...

Et vous...  si vous aviez un coach en face de vous, de quoi aimeriez-vous lui parler en tout premier ?

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Méditation, prière... et si on essayait ?!

Bien que la méditation soit relaxante et agréable, sa plus grande valeur réside dans son impact sur notre vie de tous les jours. Des centaines d'études réalisées ces quarante dernières années attestent les effets puissants de la méditation sur le corps, l'esprit et les émotions. En effet, de nombreux bienfaits physiques et psychologiques en découlent, dont la normalisation de la tension artérielle, une diminution des symptômes de l'anxiété et un meilleur fonctionnement du sytème immunitaire.

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Cette pratique est reconnue partout dans le monde pour ses propriétés de gestion du stress.
Heureusement, il n'est pas nécessaire de méditer pendant des décennies pour obtenir des résultats.

Se plier à une séance de méditation quotidienne de 20 à 30 minutes est une excellente habitude à prendre pour ne faire qu'un avec l'Esprit, mais ce n'est pas la seule façon de méditer. Il existe un type de méditation auquel tout le mode peut s'adonner à tout moment. Il s'appelle "l'exercice de la pause". Sept fois par jour, faites tout simplement une pause et contentez-vous d'être. Prenez conscience de votre respiration, et pendant une ou deux minutes, laissez-vous pénétrer par le moment présent - le seul où l'on peut véritablement savourer le bonheur. Lorsque vous ferez régulièrement cet exercice, vous constaterez que vous êtes plus serein, objectif et dynamique.

Vous pouvez également trouver le calme et la sérénité en communiant tout simplement avec la nature. Ecouter le chant du vent, des oiseaux ou de l'eau apaise l'esprit et le coeur, marcher au rythme de sa respiration dans la forêt ou sur la plage...
Si vous ne pouvait pas sortir, installez-vous à la fenêtre quelques minutes et regardez les arbres ou les nuages. Cela suffit souvent à chasser votre tension et vient vous toucher tout au fond de votre être.

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On retrouve la prière dans toutes les traditions spirituelles du monde. Depuis des milliers d'années, les gens ouvrent leur coeur à un Pouvoir supérieur par le biais de la prière, ayant ainsi recours à une sorte de ligne directe pour communiquer avec le Divin.
Comme la méditation, la prière peut prendre différentes formes. Durant les périodes troubles, nous prions pour obtenir du réconfort, des conseils et la guérison, pour nous ou pour des gens que nous aimons. A d'autres moments, lorsque la beauté, l'amour ou la gratitude nous submergent, nous avons tendance à prier pour rendre grâce et louanger. Ce qui nous inspire la prière n'a pas d'importance, c'est la prière elle-même que nous unit à l'Esprit.

De nombreuses études démontrent que la prière influe grandement sur le bonheur, des milliers et des milliers de gens ayant indiqué qu'elle augmentait leur sentiment de bien-être, leur taux de satisfaction dans la vie et leur bonheur en général. Les prières peuvent également profiter à autrui, même à distance. Selon les chercheurs, la prière à distance a un effet positif sur le taux de rétablissement et de guérison de patients hospitalisés.

Alors avec tout çà : pourquoi ne pas tout simplement "tester" soi-même l'impact heureux d'une telle pratique ? Rien à perdre, tout à gagner ! Clin d'œil

 

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